Vous êtes mes vœux 2023

S’il est un jour où l’authenticité vient du cœur, c’est bien en ces jours de vœux de nouvelle année.

Loin des « bonjour, çà va ? », sans écouter la réponse… c’est un moment privilégié, où le présent s’ouvre à un nouveau futur.

Alors, je vous souhaite de vous le demander sincèrement :

qu’est-ce que tu vis en ce moment ? Comment vas-tu ? Non, ne vous contentez pas d’un juste : « çà va ?» « oui, et toi ? » (cf. Thomas d’Ansembourg).

  • Racontes moi, c’est comment ce : « çà va ? »
  • Et du coup… qu’est-ce que tu as envie de faire pour 2023 ?
  • Tu en fais quoi de cette nouvelle année ?

Qu’est-ce que tu peux en faire et qui dépend de toi ?

Oui,

la page des espoirs, des projets, des idées, des envies : est ouverte à votre créativité, votre inventivité, votre pragmatisme et votre bon sens aussi. Je vous souhaite les plus belles réalisations, celles qui se vivent et se fêtent à plusieurs.

Soyez le bonheur que vous voulez voir dans le monde (librement inspiré de Ghandi).

Pour cette nouvelle année 2023, je vous souhaite de semer, de contempler, de voir grandir, de récolter à plusieurs, de fêter et de célébrer ensemble !

Et si vous aviez loupé mes vœux 2022 et 2021…

La coopération, un conte de noël?

On raconte qu’autrefois un village de la montagne avait une seule et magnifique prairie. Les dix familles du village y avaient chacune une vache, bien nourrie. Un jour, l’un des villageois ajouta une seconde vache à son profit. Il fut bientôt imité par une autre famille, puis une autre, etc. Au final de l’histoire, les vingt vaches broutèrent l’herbe jusqu’aux racines. Le seul pré herbeux disparut et, avec lui, le beau troupeau.

Cette histoire nous rappelle qu’à long terme le principe de coopération offre plus de bénéfices à l’ensemble des acteurs que la stratégie du chacun pour soi, tout de suite.

Récemment encore, un coaché me faisait part de ces services d’une même entreprise qui travaillent en silo…. Chacun vois la performance et la réussite au travers de ses missions et de sa raison d’être . Mais au final, personne entre service ne prend le temps de comprendre les enjeux de l’autre et pis encore, la cohérence et le sens global de ces actions pour la santé et le développement de l’Organisation dans son intégralité.

Une autre entreprise avait quand elle à mis au point un système de prime censé booster la production. Motivante et belle volonté! Mais au final, cet encouragement ciblé sur un seul service, a amené des dysfonctionnements en bout de chaine, à la logistique et à l’ADV. L’atteinte d’un objectif d’équipe qui n’a pas été abordé de manière systémique, peut amener à la mettre en concurrence avec tous les autres services de l’entreprise… Or, où se trouve réellement la concurrence? Les alliés?

Les Sables Mouvants - Illustration Rébecca PREVOST

Déprime et dépression, l’après covid

Les Sables Mouvants par Rébecca PREVOST

C’est quoi, se sentir englué?

Un gros coup de déprime? La dépression? Un mot qui fait peur. Parce qu’elle pointe son nez souvent après maintes efforts. Elle s’invite chez les gens courageux ou persévérants. Quand les maux vous tournent en boucle dans la tête et que l’impuissance face à une situation, malgré tous vos essais, tous vos efforts pour vous en sortir, quand cette impuissance se fait si présente qu’elle finit par vous faire baisser les bras… Une charge de travail cumulée et sans fin, des soucis qui s’additionnent, un environnement conflictuel, un sentiment d’insécurité permanent, le refus de d’accepter un changement subit,… Quand les mots n’ont pu être posés sur les difficultés rencontrées, ou qu’au contraire ils tournent en boucle sans succès, alors… Comme enlisé dans des sables mouvants, il arrive que votre énergie finissent par s’appauvrir et se tarir. Que le goût des choses devienne fade et sans intérêt, que tout perd son sens, que l’envie ne soit plus. Vous êtes peut-être parfois traversé par du désespoir et un sentiment d’épuisement profond. Une tristesse qui survient à des moments inappropriés. Une tristesse que vous chassez et qui revient sans cesse.

C’est un passage de vie

C’est un passage de vie. Un passage à prendre au sérieux. Vous avez choppé une maladie! La maladie des courageux dans les sables mouvants. Pour se soigner, il y a plusieurs remèdes à suivre. En Thérapies Cognitives et Comportementales (TCC), on utilise au bout de quelques séances, un travail d’Analyse Fonctionnelle (AF) : il s’agit de comprendre comment çà fonctionne : prendre de la hauteur pour trouver les clés. Vous allez regarder avec un autre regard votre comportement, une regard de chercheur, pour quantifier le nombre de fois où il se présente, dans quel contexte. Le psychologue TCC vous aidera aussi à identifier les pensées et les ruminations, les images mentales, les monologues intérieurs qui, bien souvent, vont accompagner et/ou précéder vos comportements et vos paroles (Cf. Cottraux J).

Quel est l’objectif de ce travail? çà sert à quoi une AF?

L’objectif est de préciser ce qui fait que ce comportement se déclenche et se maintien : où, quand, avec quelle fréquence, quelle intensité, en présence de qui se déclenchent les comportements inadaptées? Quelles sont les conséquences de comportement sur moi ?(prise de poids liée au grignotage ou à l’alcool, colères plus fréquentes et conflits associés, addictions pour trouver le sommeil, isolement, etc.) et sur les proches et l’environnement social (éloignement, dépendance, etc.) : « on gagne des pertes » en somme (des renforcements négatifs).

L’arbre qui cache la forêt

Souvent, l’état de déprime ou de dépression sont associés à quelque chose d’antérieur (peur des conséquences si l’on affronte telle situation ou si l’on s’affirme, peur de perdre son emploi, ou peur d’être maladroit si l’on s’exprime, rituels (de plus en plus long) pour se rassurer, tendance à s’angoisser sur tous les sujets, etc.).

Pour quel bénéfice les TCC?

Alors, comment retrouver cette énergie et cette joie de vire? Non pas…comme avant, mais comme vous après.

Que diriez vous de dénouer toute cette complexité pour retrouver quelque chose de plus simple et plus paisible pas à pas?

La réflexion que permet l’Analyse Fonctionnelle tend à isoler le ou les problèmes clefs, dont la solution modifiera de façon durable et importante le comportement. Il s’agit de définir de nouvelles façons de faire face à ce qui pose problème. En posant autrement le problème. Afin de pouvoir faire de petits pas et grignoter du terrain vers le sentiment de réussite. Retrouver une estime de soi plus forte, une humeur plus sereine, s’ouvrir vers d’autres choses, en lien avec vos valeurs.

 

C’est ce que je vous propose d’explorer et de construire avec vous

Pour atteindre les étoiles

Plus je gagne plus je joue

N’avez-vous jamais fait le constat que la confiance en soi semble rendre indestructible? Si pour certains elle oscille entre : le ressenti de petites vexations vécues en situations, des imperfections à la réussite qui entachent notre estime de soi… Pour d’autres d’autres ou à d’autres moments, l’estime de soi est gonflée à bloc et gorgée de gloire et suit une pente ascensionnelle de réussites en réussites qui s’enchainent encore et encore. Une sensation grisante de toute puissance…

Dans ces moments euphorisants qui peuvent durer plusieurs mois, nous vivons une sorte de « plus je joue, je gagne ». La confiance en soi gonflant le charisme et l’aplomb en société, l’argent attirant l’argent, etc. Comme c’est grisant, ce sentiment de toute puissance qui se construit pendant la réussite !

La lumière de la gloire éblouit, étourdit

La puissance

Dirigeants, managers, responsables… nous avons tout intérêt à rester lucide. Boostés principalement à la dopamine et à la sérotonine dans cette période où chacun voit en nous le successful person, avoir des espaces de confrontations pour conserver notre regard critique, peut nous éviter bien des dérives liées au déni. En effet, prendre des risques calculés est quelque peu différent de prendre des risques inconsidérés, vous ne trouvez pas ?

« Chaque fois que je me plante, je pousse » (Michelle GUEZ)

Tirons le fil : je joue, je gagne, je joue, je gagne, je joue, je gagne…et puis un jour, je perds, je perds, je perds… Que se passe-t-il alors ? Il y a une différence entre la culpabilité et la responsabilité. D’un côté : la culpabilité alimente les ruminations et la procrastination ou à l’inverse le travail excessif et frénétique (pour se donner un ersatz de bonne conscience), et de l’autre, être responsable : nourrit notre passage à la décision puis à l’action.

Pince-moi ou je rêve !

Tenir la route

La douleur de l’échec nous ramène à la réalité. C’est ici que nous pouvons prendre pleinement conscience du chemin et consolider les fondations pour construire plus solidement. Garde alors à l’isolement que peut générer la honte.

« La honte nous révèle en creux notre désir irrépressible d’être admiré par les autres. »(psychologie magasine- https://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Emotions/Articles-et-Dossiers/Les-3-bienfaits-de-la-honte). La honte sert à vivre ensemble. Cette émotion est le garant de nos valeurs de groupe. Lorsqu’il y a dérive…il y a honte.

Mais alors… s’il y a prise de conscience, il doit y avoir aussi réintégration dans le clan. Bien souvent nous sommes nos propres juges et nos auto-sanctions d’exclusion peuvent être véritablement préjudiciable pour nous-même. Une attention toute particulière est donc à porter au courage de retourner dans le lien social. Savoir s’entourer, aller vers les autres pour se remodeler tel un Kintsugi fier de ses blessures de guerre.

Le pas du montagnard

Atteindre des sommets

Lorsque l’on est au sommet, ou sur une pente ascensionnelle, savoir être accompagné, faire des pauses pour prendre de la hauteur, confronter les points de vues, reste indispensable à cette croissance réussie. Lorsque que l’on a à reconquérir les sommets, savoir écouter ses émotions et les messages qu’ils nous délivrent (y a-t-il des précautions à prendre ? Que signifie cette angoisse ? etc…), reconnaitre aussi sa vulnérabilité, sont autant d’apprentissages que l’on peut chérir dans notre trésor de paix. Faire la paix en soi, avec notre part d’humanité pour réussir sa vie avec elle.

Agilité, vous avez dit agilité?

COVID-19… encore? non, sans rire?

Conduire le changement et mettre en œuvre les solutions liées aux nouvelles contraintes qu’imposent cette pandémie? Comment vous y prenez-vous pour renouveler les élans de motivation que cela suppose?

Est-ce que vous aussi vous utilisez les émotions, la peur et les frustrations, le stress, les angoisses de perte ou d’agora, l’énergie de la liberté, comme des atouts? Est-ce que vous liez ces signaux et anticipez par de la prévention des Risques Psycho-Sociaux (RPS), pour rester vigilant quant à la vulnérabilité ressentie ou réelle, sans attendre les urgences de la souffrance mentale ou physique?

Comment développer les soft skills d’adaptabilité d’entreprise? Comment sortir de la souffrance au travail surtout si elle semble moins visible, quand elle devient télétravail? Vivre une cohésion d’équipe à distance?  Faut-il s’appuyer sur les multipotentiels, doués et HPI en cette période? Ne pas perdre de vue la QVT (qualité de vie au travail), et la démarche RSE dans ces changements majeurs que créent la pandémie? Comment garder le lien managérial et respecter la vie hors travail quand les repères changent? Quelle motivation et re-mobilisation face aux pertes de sens ? (rubrique actualité). Marque Employeur : comment attirer les talents dans ce contexte d’incertitude?

C’est ce que je vous propose de voir ensemble. Alors, on s’y met?

Savoir s’adapter, une qualité recherchée

https://www.capital.fr/votre-carriere/recrutement-la-capacite-a-sadapter-une-qualite-de-plus-en-plus-recherchee-1372485 par Julie KRASSOVSKY 

« S’adapter, c’est sortir d’une habitude qui utilise les mêmes processus et arrive toujours au même résultat »,

note Rébecca Prévost, psychologue du travail et coach en entreprise.

Pour améliorer votre souplesse mentale, commencez donc par changer une ou deux petites choses dans votre façon de faire. Remettez vos process en question. Observez d’autres manières de faire. « Intégrez des réseaux pros et échangez vos bonnes pratiques », conseille la coach. Clubs d’entrepreneurs, associations, réseaux sociaux, meet-up, toutes sortes de communautés de métiers existent pour transformer votre job, et votre vie, en learning expedition.

Allez sur le terrain (mental) de l’autre

Enfin, pour intégrer l’agilité dans votre mode de fonctionnement, il faut savoir sortir de votre zone de confort physique et mentale. « Cela implique de se mettre en position d’étonnement et d’apprentissage. Et surtout d’arrêter de se dire qu’on sait, sinon on arrête d’écouter les autres », assure Christophe Deval. Responsable commerciale dans une petite entreprise de textile, Alice Amar Voirin travaille à distance avec deux techniciens en transport de marchandises basés en Chine. « On ne se comprend pas toujours ! Quand je leur envoie une consigne, je leur demande de m’expliquer ce qu’ils en retiennent et je la reformule avec leurs mots à eux. » Ecouter plutôt que répéter, c’est aussi ça, s’adapter!

Attention à la suradaptabilité

Vous dites toujours oui quel que soit le contexte ? Pour ne pas déplaire ? Pour prouver votre motivation ? Gare à la perte de crédibilité et au risque de burn-out ! En effet, la suradaptabilité est facilement considérée comme un manque de personnalité. Le vrai risque est surtout de perdre le lien avec vos valeurs profondes, votre identité professionnelle (expertise) pour coller à des contraintes imposées. Ce « faux self » vous éloigne de vos propres envies et limite, du coup, votre créativité et votre capacité à prendre des décisions.

Peur de réussir? Peur d’échouer? Le complexe de l’imposteur…

Le complexe de l’imposteur, qu’est-ce que c’est?

Il touche 70% d’entre nous à un moment où un autre de notre vie. Notamment en période de transition, de prise de nouveau poste, ou d’âges clés.

Il concerne chaque personne qui a des capacités et qui  est néanmoins convaincue de ne pas en avoir assez, et de devoir cacher ce manque pour se protéger.

Il y a donc l’idée d’un masque de protection ou d’un faux-self. Une peur anticipée du regard des autres : « Que va-t-on dire de moi? »

C’est aussi un besoin de tout réussir parfaitement. Le droit à l’erreur n’est pas permis et la recherche de la perfection titille les ruminations

Ainsi, face au besoin d’être reconnue, les brefs retours négatifs sont vécus avec plus d’intensité par la personne qui vit ce complexe, et qui d’ailleurs n’entend plus que çà! En réponse : un travail excessif et disproportionné par rapport aux enjeux, une recherche d’intimité (protection) et une tendance marquée à se blâmer soi-même (niveau d’exigence), une intolérance à la frustration (dans la plainte).

Elle n’a d’ailleurs pas la même perception du vécu du succès, et considère son stress comme une preuve de son manque de compétences.

Bref, ce n’est pas très confortable à vivre. Pas vrai?

Comment le conte de fée se transforme:

Complexe de l’imposteur : cercle vicieux

 

En résumé : quelques avantages, mais qui deviennent vite des tyrans :

Des solutions existent :

 

En quelques séances de coaching, les capacités redeviennent des alliées. Car ce dont chacun a besoin, plutôt que d’avoir le sentiment de ne pas avoir fait assez, ou suffisamment ou dans la bonne direction…c’est d’un objectif atteignable, afin d’obtenir satisfaction, contentement, fierté ou apaisement. C’est tellement agréable d’être heureux de ce que l’on a réalisé!

Travailler en contact … avec la clientèle, pas avec le Covid

Travailler en contact … avec la clientèle / pas avec le Covid

Les mécanismes en jeu : analyse de la situation 

Sortir d’un espace réduit dans lequel chacun s’est contraint à rester sur des critères de dangerosité durant 2 mois, amène à une vraie peur du dehors bien compréhensible dans un premier temps.

Pour faire simple, dans une logique de survie, il y a sollicitation de la partie reptilienne de notre cerveau, il s’agit de répondre à des exigences de sauvegarde pour soi, ses proches, son clan, pour l’espèce. Puis dans un second temps, s’active la partie limbique et rationnelle. En effet le ressenti de peur vient dans un premier temps nous alerter d’un danger, puis le cerveau rationalise la privation de libertés et trouve tout un tas d’avantages à travailler (ou pas) pieds nus de chez soi, sans temps de trajet, à l’abri. Quand il s’agit de suivre le processus inverse, et de sortir à nouveau, les mécanismes mentaux de réduction de la dissonance cognitive doivent apprendre un autre chemin. Celui-ci se réalise :

  • – Dire : Par la parole : pour permettre d’élaborer de nouveaux raisonnements et de nouvelles logiques,
  • – Comprendre : Par l’accès à des données factuelles dépassionnées,
  • – faire : Par des petits pas réussis : pour se remettre en confiance peu à peu, avec des actions de précaution calibrées.

Dans ce contexte je vous propose des …

ATELIERS CONTACT :

Retrouver des repères de sécurité pour travailler en confiance dans un contexte de reprise

Public cible : personnel en contact direct avec la clientèle

Durée : 1 jour en présentiel (+ 0.5 jour en option en retour d’expérience)

Ou 4 X 1H30 d’atelier en visioconférence

Modalités pédagogiques : apports pour donner du sens et permettre de comprendre ce qui se passe (approche neurocognitive et comportementale sur la gestion du stress, AT sur la communication et la gestion des tensions et conflits, CNV, psychologie sur la gestion des émotions, etc.), expérientiel, temps de parole de chacun pour valoriser les expériences du groupe, offrir des éléments de reconnaissance et de réassurance, capitalisation sur les propositions coconstruites pour repartir avec du positif.

Principe : un espace d’écoute pour déposer et créer de nouvelles forces

Déposer les peurs et le vécu difficile et repartir avec du positif, plus d’assurance et d’éléments d’assurance.

  • C’est un espace pour parler de ce que l’on ressent,
  • Sans jugement,
  • Avec un protocole de parole qui permet de sortir ses peurs et de les remplacer par du réconfort, des idées positives, de l’entraide, des solutions factuelles ou des demandes concrètes intelligibles.

Programme :

Un processus structuré, un cadre professionnel et sécurisant

Matinée :

  1. Un cadre de communication confidentiel et sécurisant, avec des règles de communication : écoute, non-jugement, authenticité, bienveillance, droit à l’erreur, reformulation, etc.
  2. Un temps pour poser ses émotions et dire ses ressentis : déposer ses peurs, ses angoisses, ses colères, sa tristesse, son désespoir de certains moments,
  3. Un temps pour se donner ce qui ressource, ce qui grandit, permet de performer, oser, dire ses joies, ses découvertes utiles, ses astuces, des signes de reconnaissance. Retrouver des repères de confiance.

4. Après-midi : Un temps pour apprendre, envisager des solutions et pour se fixer un objectif réaliste et réalisable qui challenge pour réussir cette période, pour coconstruire des solutions et se mettre en mouvement, tester par petits pas.

J+1

  • (Optionnel) Retour d’expérience : questions/réponses, gratifications et pour aller plus loin…

MANAGER ET PRENDRE EN COMPTE LES RISQUES PSYCHO-SOCIAUX

Manager et prendre en compte les risques psycho-sociaux

Animé par Rébecca PREVOST – Les ateliers

Public : groupes de 6 à 8 managers en visio ou 12 personnes en présentiel

Objectifs opérationnels :

  • Comment en tant que manager puis-je identifier le niveau de risque psychosocial auquel est exposé mon équipe ?
  • Quels sont les éléments pour poser un diagnostic, les indicateurs de mesure ?
  • Comment puis-je élaborer un plan préventif (primaire, secondaire) ou correctif (tertiaire) ?

Objectifs pédagogiques :  

  • Comprendre ce qui constitue un risque psycho-social
  • Comprendre les enjeux et les responsabilités
  • Connaitre les acteurs relais
  • Savoir reconnaître les situations à risques, être dans la prévention vis-à-vis de ses collaborateurs et développer la bonne attitude en situation de management

Format : 3 sessions en visioconférence de 1H30 ou 1 journée en présentiel

  1. Poser les bases dans le contexte actuel, connaitre les responsabilités attenantes aux managers et les instances
  2. Savoir établir un diagnostic
  3. Définir un plan d’actions préventives et correctives

Programme :

  1. Introduction – présentation

Qu’est-ce qu’un Risque Psycho-Social ?

Liens avec l’actualité et les préoccupations des managers : qu’est-ce que le Covid-19 avec la période de confinement et celle de déconfinement peuvent générer comme exacerbation des risques psychosociaux ?

Santé et sécurité au travail : rôle de l’employeur et du manager, responsabilités et attitudes à tenir

Ce que dit la loi (L’employeur, le DUERP, …)

Les 4 grandes familles de facteurs de risques psycho-sociaux

La Qualité de Vie au Travail

  • Comment diagnostiquer ? Les indicateurs :

Etudes des cas rencontrés : les addictions, le stress au travail, L’épuisement professionnel en télétravail, la peur de reprise d’activité et les crises d’angoisses, les violences, etc.

  • Plan d’action : quelles sont les bonnes attitudes à tenir quand on est manager ?

Rédiger son plan d’action, et s’associer les relais et experts

  • Premières actions préventives
    • Actions correctives compte-tenu de mon diagnostic unité

Approche pédagogique :

Pédagogie à portée opérationnelle

  • Apports
  • Etudes de cas à partir de cas réels et expérimentation en intersession
  • Partage d’expérience à partir de sa propre réalité et des problématiques rencontrées par les participants

L’intervenante :

Rébecca PREVOST

          Formatrice, coach d’entreprise certifiée, psychologue du travail, professionnelle de la pédagogie et de l’évaluation, de la détection et du développement des talents de chacun, elle intervient depuis 20 ans dans des environnements industriels et des entreprises publiques et collectivités.

Sa spécificité ? Permettre de développer les compétences comportementales, ces savoir-être et savoir-faire qui font la différence sur le terrain professionnel. Ses formations et accompagnements sont appréciés pour l’approche singulière et professionnelle qu’elle propose. La pédagogie est adaptée au public, illustrée de situations concrètes récentes qui font échos au vécu de chacun, ponctuée de respirations d’humour (on mémorise mieux lorsque l’on est détendu). Loin d’être statique, c’est dans le mouvement, au travers de l’expérience en action, que les acquisitions se réalisent. Elle utilise différents canaux d’apprentissage et notamment les métaphores ou contes métaphoriques comme outil pour permettre de prendre de la hauteur par rapport à sa propre réalité.

Son objectif ? Que chacun puisse lever ses freins, se mettre en action et développer de manière autonome ses solutions en contexte professionnel, à partir de la boite à outil dont il dispose.

 

5 à 10mn tous les jours pour se pauser et se rebooster en période de confinement

5 à 10 mn par jour pour se ressourcer et rassembler son énergie, la recharger : capsules vidéo ou rendez-vous quotidien en direct sur les réseaux de votre entreprise

Un rituel de qualité de vie en télétravail…

Méthodologie : A chaque séance un apport pédagogique pour nourrir la tête, un temps de respiration/méditation/sophrologie/rire pour prendre soin du corps, une métaphore ou des astuces pour réchauffer le cœur.

Des mots simples, une approche par la technique des petits pas, du vocabulaire et des contenus adaptés à l’environnement professionnel, des initiations et astuces pour aller plus loin.
Une attention portée à la curiosité d’essayer sans jugement. C’est ok de ne pas avoir envie de tester telle ou telle séquence. Chacun découvre librement.

Processus proposé sur ces séquences de 5 à 10mn :

Tête : Chaque jour une explication simple pour comprendre comment çà marche et donner du sens – L’homme est un être adaptable. Nous allons nous aider à vivre ce chemin en comprenant comment agit le stress, le besoin de liberté, l’énergie de la colère, etc. Quel sens peut être trouvé? Quelle direction peut être donnée?

Cœur : à l’écoute de nos ressentis, savoir mettre des mots sur les maux, apprendre des émotions, se nourrir des positives, de la stimulation du rire, se créer des routines de l’optimisme

Corps : respiration, souffle, relaxation, étirements, postures. Prendre soin de son corps. C’est le premier lieu où nous habitons!

Format : 5 capsules/séances, 10 capsules/séances, 20 capsules. A la semaine ou au mois? Contactez moi pour connaitre les tarifs